• Chapitre 1 : Dix ans passèrent

    « Audran. Audran ! Réveille toi fainéant ! » hurla une voix grincheuse.

     

    Cacher sous sont épaisse couverture de fourrure, Audran avait encore une fois rêvé de la belle et encore une fois la voix de Grusha vain ternir ses songes. Le jouvenceau était devenue homme et était marier a la pire canaille de la petite ville Olémia : Grusha. Son nom résumait sa personnalité, moche et désagréable. Elle était la fille unique du boulanger Odgar un homme doux et aimant, le total opposé de la chaire de sa chaire ; Audran se demandais régulièrement si le boulanger ne lui avait pas cédé ça fille pour s’en débarrassée. Quand à ça belle-mère, Audran, n’en avait jamais entendu parler, quand ce dernier posait la question Grusha l’envoyait balader avec un « De-quoi-tu-te-mêle » plein de vigueur. Au fond Audran était persuadé que ça femme était plus triste que mauvaise, plus perdue que mal luné. Comme son cœur était doux, il lui pardonnait.

     

    Regardant les poutres tordues de ça maisonnette, les deux mains derrière la nuque, le garçon devenue homme repensais au début de son couple ; quant il était chasseur et que Grusha souriais encore. Il l’avait rencontré au marché alors qu’il vendait son gibier chassé le matin même. Elle avançait, son bras fin coincé l’hanse de son panier en osier, à cette époque elle lâchait ses cheveux. Ils ondulaient sur ses épaules comme les serpentins les jours de fête. Elle n’était pas la plus belle Olémia, ni la plus convoitée, elle n’était pas moche non plus, au final elle avait juste ce qu’il fallais. Audran ne la connaissais pas mais il la voulait pour lui. Il l’avait suivis dans le marcher, abandonnant son stand qui fut déposséder des viandes appétissantes qui le garnissais. La jeune fille passais de stand en stand, achetant ce qu’il lui fallais et accompagnais chaque paiement d’un magnifique sourire. Le soir elle rentra à la boulangerie de son père.

     

    Comment avait-elle put changer à ce point ? Se demanda Audran, accompagnant son interrogation par une grimace. Au fond de lui l’ancien chasseur savait pourquoi. Ca femme n’était plus amoureuse de lui, il se demandais même si elle l’avait un jour aimé.

     

    « Aller paresseux !! » recommença la voix depuis le rez-de-chaussée.

     

    Un grommellement se faufila d’entre les dents de Audran, ce dernier s’étant résolue à l’idée de se lever. Ses deux pieds abîmer par le travail firent craqué le plancher. L’homme ne se levait plus pour aller chasser depuis des année, le travaille de la terre remplissais a présent ses journées. Il se frotta le visage, pensent encore a cette femme qu’il avais rencontré étant plus jeune. Femme ou déesse. L’homme fini par ce lever avec la peine qu’on les vieux paysans. Après avoir ouvert les volets de la chambre il pris une grande inspiration tout en regardant la vallée ou se nichais Olémia.

     

    La petite ville d’Olémia était un lieu où il faisait bon vivre même si la vie y était plus rude que dans les grandes citées du royaume de Simatra. Elle était blottie entre deux collines arrondies et coloré par les nombreuses cultures qui nourrissaient ses habitants, comme une enfant contre le buste de sa mère. Les maison n’était pas bien grande et pas bien solide, les bâtiment ne dépassais que rarement la cimes des arbres. Au milieu de la débonnaire Olémia, l’église de Yamou, le dieu artisan, dépassait le toit des chaumières. Audran imaginais les rues de cette petite ville avec les habitants qui la peuplent, continuant leurs éternels balais, criant pour vendre, vendant pour vivre. Le commerce était la principale activité de cette cité, située au centre du royaume de Simatra.

     

    Des pas pressés firent grincé l’escalier de la vieille chaumière, de la porte arriva une femme rougie par la colère. Elle regarda Audran avec ses yeux noisette et furieux. Grusha était une femme qui avait mal vieillie, jadis ses cheveux noir ondulais sur ça nuque et ses épaule maintenant ils était prisonnier d’un chignions serrer. Ça robe de mauvaise facture était tacher par les taches ménagères mais jamais elle ne s’en préoccuper.

     

    « Tu passe ton temps a rêvasser alors qu’il y a du travail qui t’attend ?! » hurla la mégère avant de continué son sermon sur le même tons : « Edmoud est là et il t’attend ! Tu compte faire attendre ton apprentis encore combien de temps ?! »

     

    « J’y vais. » répondis Audran dans un soupir fatigué.

     

    Le paysan se rendit à la cuisine où un jeune homme l’attendait. Edmoud avait dix-sept ans, il venait de l’orphelinat de Olémia et pour avoir quelques sous en poche il travaillait comme apprentis chez Audran. C’était un garçon travailleur et calme et ce qu’il aimait pardessus tout quand il travaillait avec Audran ce sont les histoires que ce dernier lui racontait. L’époque où il était chasseur, la fois où il s’était fait attaqué par un ours et ça rencontre avec la femme aux cheveux irisé. Le maître et l’apprentis se mirent au travaille comme à l’accoutumé, c’était la saison des moisson, faux a la main il fauchez les blé pour le pain qui les nourrira. La journée était bien entamée quand un cavalier arriva au galop dans la propriété de Audran. Un cavalier avec une belle armure et il était coutumier de penser qu’un cavalier en armure était annonciateur de mauvaise nouvelle.

     

    ***


  • Commentaires

    1
    Marylin
    Mardi 2 Octobre 2012 à 23:01
    Tu écris de mieux en mieux.
      • Neresis31 Profil de Neresis31
        Mardi 2 Octobre 2012 à 23:20
        Merci
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