• Chapitre 2 : Dans la foule

     

    La foule oppressante bousculait Audran, malgré son activité commerciale Olémia n’avais jamais était autant en ébullition. Les gens parlais, criais, pestais, se révoltais, approuvais, dans ce brouhaha l’ancien chasseur restais silencieux. Le général du douzième régiment, « les croc de Simatra », était là pour annoncer une sombre nouvelle. La baronnie d’Adéron avait déclaré la guerre à Simatra. Ce qui voulais dire que le calme de la vallée d’Olémia serait tôt ou tard briser par les chants de guerre et les boucliers fracassés. Audran passa ses mains sur son visage, il ne voulait pas croire ce qu’il avait entendu, mais le général répéta :

     

    « Tout homme valide doit ce tenir prêt au combat ! Par ordre du haut et saint Tarshad de Simatra, les femmes reprendront le travail des hommes et ces derniers partiront en guerre pour défendre leur royaume bien-aimé ! »

     

    Le Tarshad, maître des armées et frère du roi. Même si la parole d’un Tarshad est sacrée, Audran ne voulais pas partir en guerre, tuer des inconnues qui on eu aussi des familles. L’ancien chasseur repensais au moment où son cœur se serra, où il compris que quelque chose de grave arriverais, cet instant où le cavalier c’est approcher.

     

    Les sabots du destrier claquaient le sol, les convulsions de ses muscles témoignaient de l’effort qu’il avait fait pour gravir les collines au galop. Le héraut regarda Audran dans les yeux avant de déclarer solennellement que tout les hommes valides était attendue à la place du marché pour une annonce officiel du saint Tarshad. Son regard se porta par la suite sur Edmoud, puis il répéta : « Tout les hommes valide. ». Audran c’était interposé entre l’impressionnante monture du héraut et le jeune apprentie.

     

    - « Edmoud n’a que 14 ans il n’est pas encore majeur ! Il ne le serra que dans un an. D’ici là notre puissante armée aura sûrement obtenue la victoire. »

     

    - « Jamais je ne vous est parlez d’une guerre ! Ce pendant vous avez raison. »

     

    Les militaires pensais qu’un paysan était trop limité pour comprendre qu’un message du Tarshad annonçais forcément une guerre, mais Audran le savais, en mentant sur l’age de son apprentie il venais sans aucun doute de lui sauver la vie, et ceci, Edmoud l’avais également compris. Après le départ du cavalier Audran transmis la nouvelle a son épouse, cette dernière s’effondra en larme. Après de tendres embrassades dont le paysan avait oublier la saveur et les remerciement du jeune apprentie, l’homme se mis en route pour Olémia, pour arriver finalement à cette foule bruyante et à ces triste nouvelles.

     

    Les yeux de l’ancien chasseur se posèrent sur les visages de la foule, il y vis les jeunes qui hurlais de joie, pensent qu’ils pourrais prouver leurs valeur et les hommes qui eux pleurais avec leur épouses de peur qu’ils ne revois jamais leurs familles. C’était donc ça la guerre ? Le ventre d’Audran se noua de peur. Jamais naguère il n’avait pensé à la mort. Jamais il n’avait envisagé qu’on l’arrache de ses terres pour protéger l’honneur et le territoire d’un roi qu’il n’avait encore jamais vu, comme beaucoup, il désirait seulement vivre en paix dans son village qu’elle que soit le régent de ce dernier. Non. Audran ne voulais pas tuer sans en connaître la cause, il ne voulait pas fermer les yeux et obéir aveuglément.

     

    « Nous prendrons la route demain ! Prenez nourriture, eau et force pour le voyage et la bataille qui vous attend a Balaven ! » Hurla le général.

     

    L’anciens chasseur rentra donc chez lui, le ventre noué et les jambes chancelante a chacun de ses pas, arrivant encore a marcher alors que la peur le terrassais. Quand il arriva a ça chaumière, il ne se sentie jamais autant chez lui qu’à cet instant. Grusha le pris a nouveau dans ses bras, ils pleurèrent ensemble, par dépit pour cette rupture forcer, par peur de la mort d’un être aimé, au final par peur du futur. La nuit venue que trop vite et c’est avec amertume qu’Audran se coucha au près de ça femme. Cette nuit là, dans ses songe, nulle belle au cheveux irisées, nulle nuit claire en milieux de forêt ; il ne rêva que du son des lames s’entrechoquant, de l’odeur du sang et de la mort qu’il allais sûrement rencontré trop tôt.

     

    Un cor sonna au lueur du jour suivant, Audran était déjà réveillé, sachant que sont voyage vers la guerre commencerais en ce début d’été, à Balaven le fort où moururent sont père et ça mère. « Le destin se rie de moi … » pensa l’apprentie soldat avant de prendre la route.

     

    ***


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