• Comme à mon habitude je lisais un livre avant de me coucher.

    Paradis sur mesure de Bernard Werber.

    L’un des rares auteurs a me donné cette impulsion d’écriture.

    De par ça plume serte mais également de par son regard sur le monde.

     

    J’ai déjà entendu des gens dire : « cet homme est fou »

    Certain avec humour d’autre qui le pensais réellement.

     

    Et ce sera le sujet de ce petit texte.

    Où est réellement la folie ?

    Est-elle réellement mauvaise ?

    Fait-elle peur ? Es qu’elle intrigue ou fascine ?

    Et qu’es qui rend le fou, fou ?

     

    Quand j’entend parler de folie, généralement, j’entend parler de personne qui ne sont pas dans la norme.

    Des gens qui pense avec un autre angle de vue.

    Ce que l’on homme un fou est un homme qui, dans un monde ou l’on mange salé, vas manger sucré.

    Es-ce ça un fou ?

    Alors nous sommes tous le fou d’une personne !

    Chaque individu sur cette planète a une opinion différente sur un sujet donné.

    Alors où se trouve la limite de la folie ?

    Naît on fou ?

    Le devenons-nous ?

    Il y a-t-il des nuances de folie ?

    Peut-on être atteins de folie sans être fou ?

    J’élargie encore le questionnement :

    Sait on quant on est ?

     

    Il y a une différence en premier lieu entre le fou pathologique, et le fou qui est considéré comme fou.

    Si je prends les définitions dans le dictionnaire, un fou peut être :

    Une personne ayant des troubles mentaux.

    Une personne extravagante.

    Une personne qui est hors de sont état habituel

    Ou encore une action qui est contraire à la raison.

    (Je passe sous silence les définitions pour les pièces d’échec, les oiseaux palmipèdes, etc. …)

     

    Tout tourne autour d’une personne ou d’un acte qui s’écarte de la norme (encore une fois si l’on ne prend pas en compte les troubles mentaux)

    Donc si l’on se détache de la norme.

    Que nous l’oublions.

    Qu’elle ne devienne plus qu’une légende ou un mythe.

    Alors le fou n’existe plus.

     

    La peur ou rejet de la folie est donc une peur ou un rejet de la différance ?

    Peur d’une personne qui à une façon de pensé si différente que nous ne le comprenons pas ?

     

    Après tout l’histoire nous l’a prouvée à mainte reprise, quand l’humain ne comprend pas il se méfis.

    Ca méfiance engendre la peur.

    La peur la violence.

     

    Cela ne veut pas dire qu’un individu intrigué par un autre individu vas lui sauter dessus a couteau tiré.

     

    Donc être considéré par le plus grand nombre comme un fou veut la plus par du temps dire que vous sortez du lot et que la plupart des personne ne vous comprennent pas.

    Faut-il changer pour autant ?

    Garder notre grain de folie pour soit ?

    Je ne pense pas.

     

    Mais ce n’est, encore une fois, que l’humble avis d’un insomniaque.

     

    Bonne lecture, bonne nuit et soyez fou !


    2 commentaires
  • Bonjour a toutes et a tous !

     

    Voila les petites News du jour :

    - Les petits textes vont devenir mensuel.

    - Il y a désormais une adresse pour me contacter : neresis31@gmail.com

    - Les deux BDs avance mais ont prise un peut de retard par rapport a ce que j’escomptais.

    - Avec le retour de mon ami d’Angleterre des courts métrages seront sûrement à venir.

    - Ecriture d’une nouvelle dans un monde ou il n’y a plus de séduction. (Sûrement sous forme de format audio, pour essayer. Rien de sur pour le moment.)

     

    C’est tout pour le moment.

    Bonne lecture et bonne journée !


    votre commentaire
  • Une douce lumière caresse mon visage endormi, se faufilant entre les interstices de mes stores. Comme ces matins d’été où les rayons du soleil viennent vous rappeler qu’il fait jour ou encore ces jours où seul le chant des oiseaux et les tendres baisers de votre moitié peuvent vous réveiller. Des jours bénis, des songes. Puis vient la chaleur sur la peau, douce caresse d’un astre qui nous surplombe et nous baigne dans sa lumière quasi-divine, cette chaleur qui nous motive pour partir au travail.

    Un bruit sourd vient violemment ternir ce tendre matin, un son qui me relève les tripes, comme si l’on m’avait emprisonné dans un tambour. S’en suit un souffle titanesque, une brutale déflagration qui fait voler les vitres de mon appartement en morceaux. Des bouts de verre et de métal sont projetés dans tout l’appartement, certains me rentrent sous la peau, la déforme, comme des aiguilles de seringue. Je suis à mon tour projeté contre le mur de ma chambre, ma bibliothèque se fracasse violemment contre mon bras gauche, j’entends les os de ce dernier craquer, se fissurer, tomber en miettes, en poussière. La lumière devient de plus en plus vive. Je comprends alors qu’il s’agit d’une explosion, une explosion titanesque.

    Quand le souffle brûlant de la déflagration cesse, je m’écroule sur le sol, tel une marionnette à qui on a coupé les fils, un vulgaire chiffon qui tombe. J’arrive, dans un dernier élan de lucidité, à relever la tête, je découvre alors l’horreur d’un champignon de fumée blanche, trace laissée par une bombe atomique à plusieurs centaines de kilomètres de là. Mon regard se trouble, mes forces m’abandonnent, je sens la chaleur qui quitte mon corps.

     

    -« Yann, Yann ? Réveille toi mon chéri. » me dit une voix douce.

     

    Mes yeux ont du mal à s’ouvrir, je les entrouvre et découvre son sourire, une rangée de dents de star entourées par de magnifiques lèvres. Je connais ces lèvres, je connais leur goût, leur texture. Peu à peu, mes yeux s’ouvrent et admirent son visage encadré de sa longue chevelure  bouclée noire. Sa peau délicate et bronzée glisse sous mes doigts alors que je sors du monde des songes. J’ai toujours aimé les latines, elles sont chaudes et belles, dangereuses et douces, mais elle, Maria, est la plus latine de toutes les latines. C’est pour cela que mon cœur bat si fort quand je la vois, comme un tigre sauvage enfermé dans une boîte, une tempête de sentiments mêlés et par moments contradictoires m’envahit et me fait frémir à chaque fois que son regard croise le mien. J’essaye de lui dire « Je t’aime », mais ses lèvres se collent aux miennes, comme si Maria, ma douce, ma tendre Maria, avait compris ce que je voulais lui dire, sans que j’eus à ouvrir la bouche. Un large sourire s’affiche sur mon visage, je prends sa main et dépose un délicat baiser au creux de celle-ci, je me sens heureux et vivant.

     

    Vivant.

     

    Une onde de choc traverse mon cerveau comme une balle un crâne. La main de Maria se dérobe de mon étreinte, je n’arrive pas à la retenir. Elle recule, elle s’en va, j’entends ses talons claquer sur le carrelage, puis le son se perd dans un écho qui me fait mal aux oreilles. J’essaye de hurler, de l’appeler mais aucun son ne sort de ma bouche. C’est l’électrochoc, des trous se dessinent dans son corps si parfait, déchirant sa robe blanche, la maculant de sang. Du sang coule en cascade, tellement de sang ! Mon lit flotte maintenant sur une mer de liquide écarlate, comme si un océan de sang avait recouvert les ruines d’une grande ville, les buildings dépassent des flots recouverts de tripes et des restes humains, j’ai cru en voir bouger !

    Elle est là, Maria, sur un morceau de métal rouillé, contemplant son reflet sanguinolent. Je dérive, je pars loin d’elle, il faut que je rame vers elle, mais au moment où mes doigts vont toucher les flots de sang je me tétanise, mon corps refuse de m’obéir. Mes doigts remontent en tremblant. Accompagné du regard de mon amour, je m’éloigne et la perds à nouveau.

     

    Une respiration difficile déplace la cendre sur le sol de mon appartement. Je me demande un instant si je rêve encore, mais une vive douleur dans mon bras gauche me hurle le contraire. Ma vue est trouble, j’ai froid, je ne sais pas combien de temps je suis resté ainsi, allongé sur mon parquet souillé de décombres en tout genre. J’ai l’impression que toutes les fibres de mon être vont se disloquer. J’essaye de me relever, mon bras valide pousse un corps qui n’a plus la capacité de tenir debout, un tas de viande et d’os. Mon cerveau quant à lui n’arrive pas à traiter toutes les données que lui envoie mon corps. Des rapports de fractures par ci, des données d’entailles et de coupures par là, ecchymoses, troubles de la vision, courbatures, un tel fouillis d’informations, j’ai la sensation de ne pas être capable d’avoir mal partout. Une douleur élancée dans la jambe disparaît pour se placer dans le torse, puis vagabonde vers mon bras, avant de finir dans mon dos, comme si mon corps n’avait qu’un nombre limité de douleurs à distribuer ; pas assez de cartes pour tous les joueurs.

    Après plusieurs essais, je me rends compte que je n’arrive pas à me dresser sur mes jambes, je me sens aussi faible et fragile qu’un nourrisson. Tout ce que je peux constater dans ma position c’est l’état déplorable de mon appartement, tout dans mon ancien lieu de vie est briser et étaler sur le sol au milieu de gravats et de bouts de verres. Bon sang ! Une table basse toute neuve, je l’avais acheter la veille, je n’aurais même pas pue en profiter. Mes yeux parcourt les ruines de mon appartement, des livres sont étaler sur le sol, mes ancien cours de fac sont disperser dans la chambre et côtoient les morceaux de ce qui était ma bibliothèque. Mes pensés deviennent de plus en plus claires, au fur et a mesure que je reprend mes esprit la douleur se fait de plus en plus présente, ce qui deviens vite insupportable. Dans un râle je tente de soulever mon buste en vain. J’ai très faim et soif, je commence à sentir mon ventre se tordre dans tout les sens, mes lèvres me tire, se déchire, une douleur de plus s’ajoute à la liste. Au bout de quelques minutes j’arrive à rabattre mon bras valide sous mon visage, m’évitant de laisser ma tête dans le verre briser. De la barbe. Je sens de la barbe naissante sur mon cou et ma mâchoire. Je commence à comprendre pourquoi mon ventre et mes lèvres me tortures. Cela doit faire au moins deux jours que je suis allonger ici. J’aperçois le soleil qui est haut dans le ciel, je suis toujours allongé, en compagnie de ma douleur, sur le sol dur et froid de mon appartement. Pousser par la faim et tirailler par la soif je me traîne tel un ver en direction de la cuisine, obéissent a mon instinct primaire de survie.

     

    Le soleil se couche a présent, cela doit faire plusieurs heures que je rampe sur le sol de mon appartement ; mes jambes recommence a fonctionner et m’aide a avancer. La pénombre recouvre mon appartement petit à petit. J’entend les bouts de verres qui crissent sous le poids de mon corps ; certain d’entre eux se glisse sous mes vêtement et me taillade. Un dernier effort ; un souffle ; le silence.

    Je me trouve à l’entrée de ma cuisine a présent, mes forces me quittes, mon salut n’est pour tant qu’à quelques mètres de moi. J’entends le rythme régulier des battements de mon cœur et du souffle de ma respiration, la ville semble endormie. Pas de fêtard, pas de chien, de voiture, aucun bruit de résonne sur les bâtiment de béton. Le silence a semble t-il recouvert la totalité de la ville. L’idée d’être le dernier survivant dans ces ruines me fait perdre mes forces, je ne désire pas lutter pour me retrouver seul. Alors que mes paupières se ferment, j’entends un souffle. Non, un râle. Quelqu’un suffoque en bas de mon immeuble, je ne suis pas seul, cette idée me pousse a bouger, à avancer vers le réfrigérateur, mon salut, ma terre promise, jésus ! Pousser par une volonté naissante j’arrive prêt de cette grande boite blanche que je convoitais tant ; la machine est éteinte. Mes jambes on à peine assez de force pour me surélever et me permettre d’atteindre la poigner de la porte donnant sur la nourriture, mon bras gauche me torture, mais pousser par mon envie de vivre j’arrive à m’agripper a la dite poignée. Sans voir l’intérieur du contenant réfrigérer, j’attrape tout ce qui me passe sous la main, à bout de force je doit me résigner a me contenté de ma maigre prise. Je m’assoie en m’adossent au réfrigérateur comme je peut.

    Tout ce que j’ai pue attraper ce sont de la moutarde, des tranches de jambon et une bière. Je commence par la bière, ma soif est tel que mes lèvres saignent, se déchirent a chacun leurs mouvement. L’alcool me fait tourné la tête, c’est peut-être mieux ainsi. Sans attendre j’enfonce les tranches de jambon, au préalable trempé dans la moutarde, dans ma bouche. La faim me tenaille encore, je me sens toujours aussi faible, mes forces me quittes à nouveau. Je me sens choir.

    Je ne sais combien de temps je passe dans le royaume des songes, de nouveau mes yeux s’ouvre sur le désastre qu’est devenue mon appartement. Malgré une douleur, toujours aussi aigue, je sens mes forces regagner mon corps. Après deux ou trois tentative je  parvient enfin a me dresser sur mes jambes. Premier besoin : trouver à manger ; je parcoure tout mes placards et mon réfrigérateur pour trouver de quoi me sustenté, enfournant systématiquement tout ce qui est comestible dans ma bouche. Une fois que les trois-quarts de mes placards sont vides, mes neurones se connectent et la désagréable sensation d’être un sombre abrutit me noue le ventre. Si la ville est si mal en point et que j’entends survivre, il serait sûrement judicieux de garder des vivres. La main de mon bras valide vient me claquer le front, pour souligner ma stupidité.

    Après avoir repris des forces, je titube vers la salle de bain, équiper de deux règles rigide, de scotche et d’un bandages, prêt à en découdre avec mon bras gauche. J’entre dans ces cinq mètres carrés mal agencer, le miroir qui surplombe l’évier est fissuré en dizaine de morceaux qui reflètent tous aussi bien le pauvre type qui les contemple. Un homme dont les yeux sont soulignés de cernes violettes et dont les cheveux châtain sont collé par du sang sécher. Un trentenaire déjà fatiguer des épreuves de la vie, parsemer de multitude de petites entailles rouges et boursouflées dont du pue suinte de chacune d’entre elles. La lumière du jour met en valeur la couleur violette, l’enflure et l’angle étrange que prend le bras gauche de cette homme là où il ne devrais pas y avoir d’articulation. Un petit rire nerveux m’échappe quant je pense que ce type ressemble à un zombie, cette idée me fait perdre aussi tôt le sourire quant je comprend que c’est mon image que reflète le miroir briser. Après avoir pris conscience de mon état déplorable, je pose mes affaires sur le sol et me prépare à remettre mon bras en place. Je prend une longue inspiration, sert les dents et remet, avec un mouvement sec le radius et le cubitus de mon bras gauche, en place. La douleur est si épouvantable que je couvre le bruit de mes os qui craque et croustille avec un hurlement qui semble venir du plus profond de mon être, je hurle encore plus fort que le jour ou ma sainte mère ma cracher dans se monde de merde. Transpirant a grosse goutte, je m’accorde une pose pour reprendre mon souffle avant de fixer mon bras avec mon matériel de fortune. Je met se dernier en écharpe autour de mon cou grâce au bandage. J’ai tellement mal ; je vendrais mon âme pour ne plus avoir souffrir.

    Quelques heures se passe et mon organisme semble s’habituer peut à peut a la douleur omniprésente. J’ai besoin d’aide, mes réflexions me pousse a croire que si des secoures aurais due arriver ils serrais déjà là ; je décide donc de partir. J’arrive dans mon salon, armoire à côté de la télévision, en haut à droite, je l’ai ! Mon sac de randonné. Je met tout ce qui peut être utile a l’intérieur, je trouve une lampe de poche mais les piles sont à plat. Je me hais ! Je m’étais promis d’aller en racheter des neuves ! Je gave mon sac de bouteille d’eau et de toute la nourriture qui me reste.

     

    Un bruit.

     

    Quelqu’un marche dans le couloir, un autre survivant ? Enthousiasmé, je boîte vers la porte d’entrée de mon appartement, abandonnant mon sac sur la table du salon. Ma main se précipite sur le poigné puis s’en suit un doute, une hésitation. J’entends à travers le bois de la porte la même suffocation que la nuit dernière, les pas de l’individu sont plus lourds que les miens. « Il est peut-être blesser. » me dit ma tête, alors que mon instinct me hurle « Ne fait pas ça ! ». Au final ma main bouge seul et décide d’ouvrir la porte, cette dernière grince en poussant des morceaux de verre et des débris. Une silhouette se tiens debout dans le couloir, chancelante mais fixe. Un homme sûrement surprit de voir un survivant dans ces ruines. Je fait un pas timide vers l’inconnue, passant ainsi le seuil de mon appartement.

     

    -« Bonjour. » dis-je avec une voix serrée à la silhouette masquée par l’ombre du couloir sans fenêtre.

     

    La forme ne me répond pas, elle se remet à avancer dans ma direction. On dirait que l’homme essaye de courir mais que ces jambes ne peuvent pas le porter. Il titube, boîte et trébuche en tendant les mains dans ma direction comme s’il me voulait pour lui seul. La peur commence à m’envahir, il s’approche lentement de moi, je fait un pas en arrière et me heurte à la porte de mon appartement. Il est presque sur moi, quant il arrive au faisceau de lumière qui passe par le cadre de ma porte, je découvre un visage mutiler. Un visage lacéré de dizaine de profonde plais, un creux en forme de V à l’envers trône à la place de sont nez, ça lèvre inférieur manque également. Sont regard est vide comme s’il ne pensais plus, ne voyais plus, il ouvre une immense bouche qui se dirige vers moi. Il veut me dévorer ! Je suis terrorisé, j’essaye de reculer mais la porte bloque ma retraite, je suis acculer, oppresser, je sent mon souffle et mon cœur s’emballer. L’inconnue se jette sur moi, je le retiens comme je peux avec mon bras valide et la seule force de la peur. Sous sont poids je m’effondre sur le sol, retenant mon agresseur avec mon avant bras au niveau de sa gorge. Les dents de la créature claque devant mon visage avec frénésie, je ferme machinalement les yeux, ne voulant pas être le témoin impuissant de ma propre mort. J’essaye de pousser la bête avec mon pied mais ce dernier glisse sur ces vêtements, je me met alors a penser à des choses improbable. A cette fille que j’ai rencontré au bar et que je n’ai jamais rappeler, à ces vingt euros que j’ai voler a ma mère la dernière fois que je l’ai vue, à ma sœur que je n’ai pas revue depuis mes onze ans. Alors que je m’égare dans mes péroraisons et l’énumération de mes mauvaises actions, je sens et j’entends un coup brutal qui fauche mon agresseur. J’entre ouvre les yeux, mon cœur et sur le point d’éclater, mes membres tremble de tout leurs long, ma respiration est saccadé. Devant moi se tien un homme armé d’une batte de baseball en bois.

     

    -« Tu a était mordu mon gars ? » me demande mon sauveur d’un ton menacent.

     

    Je suis tellement terrifier que aucun son de sort de ma bouche, je regarde cette homme armé qui viens de me sauver la vie. Un grand noir d’au moins un mètre quatre-vingt quinze de haut, une montagne de muscles au crâne chauve, habiller d’une saillante chemise violette et d’un pantalon de costar maintenant maculer de sang.

     

    -« Ecoute mon gars, si tu ne me répond pas je t’explose la tête ! » gronde l’armoire a glace en pointant sa batte maculer de sang sous mon nez.

     

    Mes yeux se fixe sur les gouttes de sang qui perle de l’outil de jeu devenu arme. Terrorisé je me contente de secouer lentement la tête pour signifier à mon sauveur que la créature ne m’a pas mordue. Sont arme de fortune se retira alors de devant mon visage.

     

    -« Qu’es qui est arriver a ton bras ? » me demande t-il d’une voix grave.

     

    -« Il … il est casser. » répondis-je en bégayant.

     

    De vilaines rides de suspicion se dessinèrent alors sur le visage du grand homme. Sont regard parcoure les moindre blessures visible sur mon corps, il m’examine, j’ai la sensation que c’est yeux veulent déterrer les secret enfoui en moi. Après quelque seconde, la minutieuse observation de l’homme armé est interrompue par des bruits de pas rapide dans l’escalier. Le grand noir sursaute et se retourne, brandissant sont arme en frêne devant lui, prêt à intercepter tout ce qui pourrais surgir de cet escalier. Le bout ensanglanté de la batte ne descendit que quant mon sauveur entendue une petite voix fluette provenant des escaliers.

     

    -« Max tu à trouver à manger ? » demanda la voix féminine au grand homme.

     

    Je vis alors arriver la nouvelle protagoniste un pistolet à la main. Un élastique noir tiens ces cheveux blond en queue de cheval derrière ça tête, elle porte un jean user et un débardeur noir ; un vrais look d’aventurière.

     

    -« Bon dieux ! Un survivant ! » s’exclame t’elle en me voyant.

    -« Oui, je pense que c’est cet homme que l’on a entendu hurler tout à l’heure. » précisa l’armoire a glace.

     

    « Hurler » ? Oui cela devait être moi. Les souvenirs de la douleur subite quelques heures avant me provoquent des maux de ventre. La nouvelle arrivante va voir le grand noir, ils semble très proche, je les entend parler de fouille méthodique pour trouver de la nourriture, il est aussi question d’un enfant malade semble t-il. Les yeux verts de la blonde se tourne vers moi, elle fait quelques pas dans ma direction et pose un genoux a terre pour se mettre a ma hauteur.

     

    -« Bonjour » commence t-elle avec une voix douce. « Je m’appelle Angie, je suis médecin et derrière moi c’est Maxime mon mari. On va vous emmenez avec nous et vous soignez. » m’explique la jeune femme.

     

    On dirais qu’elle parle à un gamin ou à un demeuré mais étrangement ça ne me vexe pas, ça voix se veux rassurante. Les rides de suspicion du front de Maxime fond leurs retours.

     

    -« Tu est sûr de toi Angie ? » demande la montagne de muscle avec un ton inquiet.

     

    Mon corps arrête de trembler progressivement ; depuis l’arriver de la jeune femme je me sens apaiser, une étrange sensation de sérénité m’envahi. Le médecin s’appuis sur sont genou pour se relever et part rassuré sont mari inquiet. Durant le discourt rassurant de ça femme les yeux de Max n’arrête pas se tourné vers moi, comme pour vérifier si je ne fait pas un geste suspect. Après une accolade Angie revient près de moi, me tendant une main aux doigts fins. Elle me demande si j’ai la force de me relever, après une hésitation comprenant l’évaluation des risque que je cour en touchant la femme du grand noir, je me décide à accepter l’aide de la femme pour me relever. Mes jambes tremble alors sous le poids de mon corps. Mon sauveur court dans ma direction, mon corps de contracte prêt à recevoir un coup mais l’homme armé me saisis sous le bras avec ça main libre pour m’aider à me relever. Il met alors mon bras autour de ça nuque et me soutien pour que je puisse marcher. Maxime est tellement grand qu’il est obliger de se voûté afin que mes pied puissent toucher le sol. Je voie la petite tête blonde partir vers l’escalier. Mon bras se détache des larges épaules de Max pour se tendre vers ça femme.

     

    -« Attendez … » dit-je en essayant d’attraper Angie a distance. « J’ai de la nourriture et des affaires dans mon appartement. » continuai-je.

     

    Il n’en faut pas plus à Maxime qui entre dans mon appartement avec conviction. Je vis alors ce morceau de muscle de presque deux mètres esquisser un large sourire en voyant le contenue de mon sac ; l’on aurait dit qu’il venait de découvrir le saint Graal. Sans s’attarder plus avant il passe ses bras dans les brettelles du sac de randonné et retourne dans le couloir. Maxime me scrute a nouveau.

     

    -« Tu ne peut pas sortir comme ça mon gars ! » Affirma t-il.

    -« Mon chéri ! On ne peut pas rester là ! » Réplique la jeune femme.

    -« Angie, il est en pyjama et en claquette, si il sort comme ça les morts ne serrons pas sont seul problème. »

     

    Mes yeux se baisse alors sur mes vêtements, ils sont lacérés, souiller par des débris et mon sang. Avec tout ce qu’il se passe je ne m’était même pas rendu compte que j’étais encore en pyjama. Malgré les réticences d’Angie, nous prenons quelques minutes pour que je puisse m’habiller. J’enfile comme je peux un jean, un T-shirt, un sweat et mes chaussures de marche ; pour aller plus vite Max me donne un coup de main. Je ne comprends pas pourquoi ils sont aussi pressés, mais j’ai la sensation que c’est vital, le visage stresser de la jeune médecin me confirme mon hypothèse. Max demande a ça femme s’il serais bon de vérifier les autres appartements, mais ça requête est immédiatement refusé.

     

    -« Qu’es qu’il se passe ici ? »

     

    Cette question sort toute seule de ma bouche, Angie et Max se tourne alors tout deux vers moi l’air étonné. Ils se regarde un moment puis Maxime prend la parole.

     

    -« Il se passe, ça ! » déclare t-il en me montrant le cadavre de mon agresseur étendue sur le sol.

    -« Avant hier vers 23 heures une bombe a exploser sur la cote, depuis c’est le chaos et nos mort … » continue Angie, sans finir ça phrase.

    -« Si ça ne te gène pas mon gars on papotera plus tard. » fini Max.

     

    Nous partons alors vers les escalier, chacun de nos pas fait crisser le verre briser sous nos pieds et chaque bruit fait sursauté le jeune couple. L’escalier est plongé dans le noir et nos pas sont guidés uniquement grâce à la faible lueur jaune de la lampe de Maxime, qui nous ouvre la voie. Arriver au rez-de-chaussée la lumière entre à nouveaux dans le bâtiment, par la grande porte vitré. Mon cœur se sert, je commence à avoir peur de ce que je vais découvrir dehors. Alors que nous allions sortir, Maxime s’arrête subitement et nous fait signe de ne plus faire un bruit puis de nous baisser. L’ordre est exécuter par ça femme dans l’instant, je suie donc le mouvement. La main délicate de Angie se faufile dans sont dos, au niveau de la ceinture puis elle sort de sous sont débardeur un Glock 18. Le pistolet noir semble énorme entre les petites mains fines de la jeune femme. Max quant à lui se met en garde et pointe sa batte vers la sortie de l’immeuble. Maintenant le silence est omni présent, tout semble figer, le temps s’arrête. J’observe alors Maxime qui semble suivre quelque chose du regard. Mes yeux vont lentement vers ce qui inquiète tant le grand noir. Je met quelques secondes à m’habituer à la lumière du soleil puis je découvre une femme couverte de sang. Encore du sang. Depuis que je me suis réveillé dans les restes de mon appartement, j’évolue dans un cauchemar, de sang et de douleur, mon enfer. Elle déambule dans la rue, les bras figer le long du corps et la tête poser contre sont épaule, comme si sont cou ne pouvais pas soutenir ça boite crânienne. Elle marche ici et là, j’ai l’impression qu’elle est perdu, j’entame un mouvement pour porter secoure à cette femme mais le bras de Angie bloque mon action, le crissement du verre sous mes chaussures fait stresser les mariés. La jeune femme qui déambulait se fige alors. Il semble qu’elle m’est entendue. Elle se tourne vers nous et je découvre que sont flanc droit est complètement dévoré, elle à un troue béant au niveau son estomac. Aucun être humain ne pourrais survivre à une tel blessure. La situation me semble aberrante, je suis figé par la peur. Comment une personne pourrais t’elle survivre alors qu’un quart de ces organes sont manquant et que le reste est à découvert ? Angie laisse échapper un juron d’entre ces dents puis avec son doigt elle retire la sécurité de son arme a feu le clic du mécanisme fait réagir la femme dans la rue qui se dirige vers nous en boitant. Maxime nous fait signe de ne pas bouger. La créature titube vers nous, ses doigts crochue se dresse dans notre direction. Elle adopte le même comportement que l’homme dans le couloir, elle semble vouloir courir ; elle aussi. Son sang coule le long de ça cuisse, ces bras se tendent vers notre groupe. Elle nous veut, elle veut nous dévorer également, comme cet homme devant mon appartement. Les souvenirs de cette épreuve m’effraies encore plus, je suis tellement tétanisé de peur que je ne peux même pas hurler. Je me contente de l’observer en train de boiter, les yeux hagards. La créature se heurte soudainement à l’épaisse vitre de l’entrée de l’immeuble. Elle ne semble pas comprendre que l’entrée est à quelques centimètres à ça droite. Ca tête choque le verre plusieurs fois, la créature s’obstine pendant quelques minutes avant d’abandonné et de repartir déambuler dans les rues. Par précaution Maxime nous fait attendre encore quelques minutes puis nous reprenons la route.

     

    Nous marchons aux milieux des carcasses de voiture et des déchets qui parsèment la ville, je suie mes protecteurs jusqu'à la place des Carmes, l’immense bâtiment de verre qui se dresser devant le parking circulaire des Carmes est totalement déposséder de ces vitres ; les reste des carreaux teinter qui reflétais jadis le ciel gouvernant la ville sont éparpiller et briser sur le sol. Toulouse autre fois ville rose est devenue rouge sang. Une question me brûle les lèvres, je m’approche donc de Max qui ouvre la marche.

     

    - « Excuse moi. » commence ai-je en chuchotant.

     

    La masse musculaire du grand noir se fige, il tourne alors la tête et me regarde l’air mauvais. Je me demande alors ce que peut voir cet homme. Voit-il un survivant ou un boulet ? Je suis assez effrayé par cet homme qui ma sauver la vie il n’y a pas si long temps. C’est yeux reflète la rage, comme s’il avait régresser à un stade animal ou l’auto préservation passe avant tout.

     

    - « Où allons nous ? » continue ai-je.

     

    - « Ici … » dit simplement Max en pointant le parking a étage des Carmes.

     

    Je regardais alors la grande structure de bétons d’un air dubitatif. Je me demande pourquoi le jeune couple veut m’emmener en ce lieu. Qu’avait-il bien pue se passer pour que la ville soie dans un tel état ? Une centaine de question se superpose dans ma tête au moment où nous montons les marches en béton noircies de l’entrée du parking. A chaque angle, chaque bruit, chaque ombre, le couple stoppais ça progression pour se cacher. La sensation d’être une proie m’envahie.

     

    C’est ainsi que je fais mes premiers pas dans ce monde où la mort est en vacances.

     

    ***


    1 commentaire
  •  

    Elle est belle. Ça chevelure doré forme de magnifique vague sur les draps, elle ressemble à une poupée : ces jouets au forme si parfaite. Elle dort, ça poitrine ce balance paisiblement au rythme de ça respiration, je ne connais ni son nom ni de la où elle viens et pour quoi l'on veux ça mort. Tout ce que je sais c'est que je suis entrée dans ça chambre avec le silence d'une brise d'été et que le canon d'acier de mon arme et pointé vers son visage angélique. Je presse la détente, une fois, une autre et une dernière pour être sur. Ca poitrine ne bouge plus. Le bruit est étouffé par le silencieux, maintenant son corps si parfait et couverts de sang mais je ne ressens rien.

    Pourquoi ? Parce que c'est mon travail ... les idée noir je les met de cotée pour ma retraite, quant je serais vieux et que je voudrais mettre fin a mes jour, pour ce qui est de l'instant présent ... je met mes sentiment à la trappe, et tendis que le stagiaire vomie derrière moi, je ramasse les douilles et efface toute trace de mon passage. Lui laisse des indices à foison ... le fils du patron, un incapable de blondinet arrogent et qui veux être tueur parce qu'il trouve ça fun. Au final je me retrouve à faire de la garde d'enfants et ce fils de riche va se faire prendre, une fois a cotée des flics il va me balancer pour évité a ça petite tête blonde d'aller en prison et ça même si son paternel à les moyen de le faire sortir. L'on passe deux heures à tout nettoyer, le travail final est correct mais je ne reste pas à contempler mon oeuvre et je détale vite fait suivi du stagiaire.

    Nous sortons de l'hôtel le plus discrètement possible, marchant vers ma voiture garée un peu plus loin. Le jeune me pose tout un tas de question au quel je répond par un regard qui veux dire "Ferme là gamin !" qu'il saisi aussi tôt et me montre qu'il a compris en ferment son claque merde jusqu'a qu'on arrive prêt de ma maison. Une fois la voiture au garage je change ça plaque d'immatriculation par celle que j'utilise dans le civil. Le blondinet reste avec moi ce soir, c'est dans le contrat. Je m'allume une cigarette bien mérité et je file me coucher.

     

    Une chaleur me caresse l’oreille puis la joue, le soleil est déjà haut, j’ouvre les yeux et sort d’un sommeil agité comme à mon habitude. Le soleil me brûle les yeux … je hais le soleil au final pourquoi les gens aime le soleil ? Il provoque des cancers de la peau, l’on ne peu pas le contemplé ou il nous brûle les yeux, au contraire de la lune élégante et douce qui berce nos nuits, se laissent contemplé par ceux qui préfère ce compagnie a celle de leurs draps. Le blond dort au pied de mon lit sur un vieux matelas que j’ai bien voulut lui cédé, se jeune inconscient pensai avoir le lit, il se retrouve avec une balafre sur la main mais il a compris le message … Je risque d’avoir certain ennuis avec le paternel mais j’aurais passé une dernière bonne nuit.

    ____________________________________________________

    Voici l'ancienne version, beaucoup de changement seront apportés à la suivante. Entre autre je vais m'efforcer de donner à cette nouvelle un aspect plus polar.


    1 commentaire
  • « Audran. Audran ! Réveille toi fainéant ! » hurla une voix grincheuse.

     

    Cacher sous sont épaisse couverture de fourrure, Audran avait encore une fois rêvé de la belle et encore une fois la voix de Grusha vain ternir ses songes. Le jouvenceau était devenue homme et était marier a la pire canaille de la petite ville Olémia : Grusha. Son nom résumait sa personnalité, moche et désagréable. Elle était la fille unique du boulanger Odgar un homme doux et aimant, le total opposé de la chaire de sa chaire ; Audran se demandais régulièrement si le boulanger ne lui avait pas cédé ça fille pour s’en débarrassée. Quand à ça belle-mère, Audran, n’en avait jamais entendu parler, quand ce dernier posait la question Grusha l’envoyait balader avec un « De-quoi-tu-te-mêle » plein de vigueur. Au fond Audran était persuadé que ça femme était plus triste que mauvaise, plus perdue que mal luné. Comme son cœur était doux, il lui pardonnait.

     

    Regardant les poutres tordues de ça maisonnette, les deux mains derrière la nuque, le garçon devenue homme repensais au début de son couple ; quant il était chasseur et que Grusha souriais encore. Il l’avait rencontré au marché alors qu’il vendait son gibier chassé le matin même. Elle avançait, son bras fin coincé l’hanse de son panier en osier, à cette époque elle lâchait ses cheveux. Ils ondulaient sur ses épaules comme les serpentins les jours de fête. Elle n’était pas la plus belle Olémia, ni la plus convoitée, elle n’était pas moche non plus, au final elle avait juste ce qu’il fallais. Audran ne la connaissais pas mais il la voulait pour lui. Il l’avait suivis dans le marcher, abandonnant son stand qui fut déposséder des viandes appétissantes qui le garnissais. La jeune fille passais de stand en stand, achetant ce qu’il lui fallais et accompagnais chaque paiement d’un magnifique sourire. Le soir elle rentra à la boulangerie de son père.

     

    Comment avait-elle put changer à ce point ? Se demanda Audran, accompagnant son interrogation par une grimace. Au fond de lui l’ancien chasseur savait pourquoi. Ca femme n’était plus amoureuse de lui, il se demandais même si elle l’avait un jour aimé.

     

    « Aller paresseux !! » recommença la voix depuis le rez-de-chaussée.

     

    Un grommellement se faufila d’entre les dents de Audran, ce dernier s’étant résolue à l’idée de se lever. Ses deux pieds abîmer par le travail firent craqué le plancher. L’homme ne se levait plus pour aller chasser depuis des année, le travaille de la terre remplissais a présent ses journées. Il se frotta le visage, pensent encore a cette femme qu’il avais rencontré étant plus jeune. Femme ou déesse. L’homme fini par ce lever avec la peine qu’on les vieux paysans. Après avoir ouvert les volets de la chambre il pris une grande inspiration tout en regardant la vallée ou se nichais Olémia.

     

    La petite ville d’Olémia était un lieu où il faisait bon vivre même si la vie y était plus rude que dans les grandes citées du royaume de Simatra. Elle était blottie entre deux collines arrondies et coloré par les nombreuses cultures qui nourrissaient ses habitants, comme une enfant contre le buste de sa mère. Les maison n’était pas bien grande et pas bien solide, les bâtiment ne dépassais que rarement la cimes des arbres. Au milieu de la débonnaire Olémia, l’église de Yamou, le dieu artisan, dépassait le toit des chaumières. Audran imaginais les rues de cette petite ville avec les habitants qui la peuplent, continuant leurs éternels balais, criant pour vendre, vendant pour vivre. Le commerce était la principale activité de cette cité, située au centre du royaume de Simatra.

     

    Des pas pressés firent grincé l’escalier de la vieille chaumière, de la porte arriva une femme rougie par la colère. Elle regarda Audran avec ses yeux noisette et furieux. Grusha était une femme qui avait mal vieillie, jadis ses cheveux noir ondulais sur ça nuque et ses épaule maintenant ils était prisonnier d’un chignions serrer. Ça robe de mauvaise facture était tacher par les taches ménagères mais jamais elle ne s’en préoccuper.

     

    « Tu passe ton temps a rêvasser alors qu’il y a du travail qui t’attend ?! » hurla la mégère avant de continué son sermon sur le même tons : « Edmoud est là et il t’attend ! Tu compte faire attendre ton apprentis encore combien de temps ?! »

     

    « J’y vais. » répondis Audran dans un soupir fatigué.

     

    Le paysan se rendit à la cuisine où un jeune homme l’attendait. Edmoud avait dix-sept ans, il venait de l’orphelinat de Olémia et pour avoir quelques sous en poche il travaillait comme apprentis chez Audran. C’était un garçon travailleur et calme et ce qu’il aimait pardessus tout quand il travaillait avec Audran ce sont les histoires que ce dernier lui racontait. L’époque où il était chasseur, la fois où il s’était fait attaqué par un ours et ça rencontre avec la femme aux cheveux irisé. Le maître et l’apprentis se mirent au travaille comme à l’accoutumé, c’était la saison des moisson, faux a la main il fauchez les blé pour le pain qui les nourrira. La journée était bien entamée quand un cavalier arriva au galop dans la propriété de Audran. Un cavalier avec une belle armure et il était coutumier de penser qu’un cavalier en armure était annonciateur de mauvaise nouvelle.

     

    ***


    2 commentaires