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  • Les mots sont puissant :

     

    Depuis que je suis tout petit, l'on m'a appris bien des choses.

    Mais j'aimerais parler de cette phrase que m'a apprise ma grand-mère.

    La femme sage qu'elle était m'a dit ceci : « Les mots sont puissants ».

    A l'époque j'étais jeune et cette phrase a été stockée dans ma mémoire sans que je ne la comprenne.

    Maintenant que j'ai dépassé l'âge de raison.

    Maintenant que je souhaite faire grandir mon esprit.

    Je pensais pouvoir comprendre cette phrase.

    J'ai alors essayé de faire attention à mes mots.

    Chaque syllabe.

    Chaque pensée.

    Chaque verbe.

    J'essayais de les analyser afin de ne pas blesser.

    Je n'y suis jamais arrivé.

    Vint un jour où je me suis posé une question.

    Ma défunte grand-mère, cette sage me parlait elle de « mot » ou des « maux » ?

    Car, OUI ! Cet assemblage de syllabes est puissant.

    Chaque mot peut avoir plusieurs visages.

    Un mot peut également cacher d'autres mots.

    Mais les maux, ces douleurs peuvent également cacher d'autres maux.

    Mes maux viennent-ils des mots ou d'autres maux ?

    Et les mots provenant de maux sont-ils de vrais mots ?

    Je décline alors des centaines de questions avec des mots, des maux qui m'infligent d'autres maux.

    Comment évaluer la puissance d'un mot ou des maux ?

    Comment savoir si ma grand-mère parlait de mots ou des maux ?

     

    Je ne sais pas si ma sagesse est assez grande pour arriver à percer ce mystère, mais je tente cette aventure mentale.

     

    Un mot est un mot qui désigne tous les mots.

    Tout comme maux est un mot qui désigne tous les maux.

    Un mot peut provoquer le rire, les larmes, il peut blesser et guérir.

    Mais des maux ne me feront jamais rire, ils invoqueront seulement mes larmes.

    Ces maux par définition blessent, mais ils peuvent également guérir.

    Nous ne pouvons guérir si nous ne subissons aucun mal.

     

    Toutes ces péroraisons nous montrent-t-elles réellement la puissance des mots ou des maux ?

     

    Je pense que c'est à chacun d'en juger.

    De mon côté je respecterais ces deux mots.

    Car les mots me font vibrer, ils m'instruisent et me font grandir.

    Mais si je n'avais jamais eu de maux, je serais un homme insipide.

     

    Je comprends maintenant que les mots qui composent chacune de mes questions et les maux qui poussent à me poser toutes ces questions, ne vivraient pas les uns sans les autres.


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  • Cette nuit, après avoir dévoré quelque une de mes BDs je me suis poser une question.

    « Pourquoi, es-ce que j’aime les histoires de Zombies »

    C’est créatures tiré de l’imaginaire d’un génie ou d’un malade mental – suivant l’opinion que l’on a des ces fixions – me fascine. Je suis rester donc un moment l’air dubitatif devant l’image d’un zombie.

     

    Première réflexion : « C’est moche ! »

     

    Certes les zombies c’est moches, ils sont les ennemie des héros sans être pour autant les méchants – je prend pour référence les zombies qui pue, qui bave et qui ne réfléchissent pas – ils sont sans intérêt a première vue et les scénariste voulant utiliser les zombies dans leurs histoires, perdent leurs cheveux en cherchant un scénario qui tiens plus ou moins la route. Oui ! Restons honnête les scénario de zombie font partie des scénario les plus vide que l’on puisse trouver.

     

    Alors pourquoi aimé ça ?

     

    Je me gratte la tête et me pose la question une centaine de fois avant de trouver. Je pense que ce que j’aime dans les histoires de Zombies ce ne sont pas les Zombies, ni même les survivants, ce qui me passionne c’est la comparaison entre ces deux créatures. Les survivant étant toujours « humain » et les zombies était « humain » ce qui fait le liens entre ces deux créatures, ce qui est intéressant – outre la survie en elle-même – c’est cette analyse de « l’humanité » et si je met ce mot si fort entre guillemets c’est que, la plus part du temps, les auteurs de scénario de Zombie essais de montré que « humanité » est un mot surévalué et que toutes les humains ne fond pas forcément preuve d’humanité.

     

    C’est du moins ce que je crois.

     

    Deuxième réflexion : « C’est dégueu ! »

     

    Fait indéniable et caractéristique principale du Zombie, sont odeur de cadavre en putréfaction. Pas d’analyse a se sujet, même si je pourrais dire avec facilité que ça reflète le côté « pourris » des humain, c’est juste … cool !

     

    Troisième réflexion : « C’est SUPER !! »

     

    A ce moment précis je me demande si je garde ma crédibilité … en tout cas ma troisième réflexion me renvoie a la première, c’est un cercle vicieux …

     

    Je vous laisse là mon esprit est suffisamment torturé comme ça !


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  • Ce matin une envie d’écrire me vient comme une envie d’aller pisser.

    Je pose alors mon postérieur sur la chaise qui siège fièrement devant mon ordinateur.

    Je reste un moment puis … rien, pas la moindre idée ne me viens.

    Au diable les conventions ! Pourquoi faudrait-il un sujet pour écrire un texte ?

    Devrais-je attendre le bon vouloir de mon cerveau malade et fatiguer pour jouir de l’écriture ?

    Je me lance alors dans l’écriture d’un texte absurde certes, mais au combien sincère.

    « De toute façon je n’ai jamais était normal » me dit-je pour me rassurer.

    Je commence a tripotée mon pauvre clavier qui n’en demander pas tant et me rend finalement compte qu’un sujet n’est pas optionnel dans un texte (aussi grotesque soit-il)

    Ha-Ha ! Tu veut un sujet satané texte ? Alors je vais t’en donné un !

    J’ouvre le dictionnaire a une page quelconque étant décidé a faire de ce mot quel qu’il soit le sujet de mon texte.

    Je tombe alors sur : « Fraise »

    Je découvre alors qu’il y a un homme ou une femme sur cette terre qui avait autant de temps à perdre que moi.

    Je découvre non pas une définition mais un roman sur la fraise.

    Je suis époustouflé par toutes ces définitions.

    Pour ne pas plagier la personne qui c’est donné tant de mal pour nous offrir l’épopée de la fraise, je décide de passé à un autre mot.

    Je recommence : « Libre arbitre »

    Voilà un sujet bien sérieux qui viens a moi ! Et dire que je voulais me détendre …

    Je jette le dictionnaire par terre, met un coup de boulle dans la télévision, peste, râle, n’y a-t-il aucun sujet qui pourrait me convenir ?!

    Je boude devant mon ordinateur, avant de me résoudre à écrire une ligne.

    Je l’efface.

    Je recommence.

    Je l’efface a nouveaux.

    Comment parler d’une chose qui n’existe pas ?! Le libre arbitre c’est un concept ; ou un arbitre de foot qui n’est pas en prison !

    Mon dieu ! Heureusement que mon ami Frank Sinatra est a coté de moi et me berce de ces « New York ! New York ! ».

    Je décide alors de retranscrire la définition de Libre-arbitre.

     

    Libre arbitre [libRaRbitr(Ә)]. n. m. (1541 ; de libre, et arbitre 2). Philo. Faculté de se déterminer sans autre cause que la volonté. V. Liberté. « Traité du libre arbitre » (Boss.). ◊ Cour. Volonté libre, non contrainte. Il n’avait pas son libre arbitre, il a agi sous la menace.

     

    C’est magique le pouvoir qu’on les dictionnaires pour compliquer les choses les plus simple et de simplifier les choses les plus compliquer.

    Le mot fraise jouis de quatre définitions d’une dizaine de ligne chacune alors que les mots libre arbitre, qui sont deux, doivent se partager trois pauvres ligne.

    Noté le sadismes : Trois lignes alors qu’ils sont deux ! L’auteur aurait pu en mettre quatre ou deux, ils puissent se les partager équitablement.

    Je m’imagine bien arbitre et libre se disputer pour la ligne qu’il reste.

     

    Arbitre : « Bon écoute Libre, tu na pas le choix ! La dernière ligne elle est pour moi ! »

    Libre : « Non, non ! Elle est pour moi ! Les gens se sont battu pour moi elle me reviens ! »

    Arbitre : « N’essaye pas de m’embrouillé les humain se sont battus pour ta sœur ! Et maintenant qu’il l’on il s’en foute éperdument ! »

    Libre : « C’est vrais que Liberté traverse une crise mais c’est pas une raison de te comporté comme ton frère : Arbitraire »

     

    Je rigole tout seul devant mon ordinateur.

    Imaginer deux mots qui se battent pour une ligne me fait rire.

    Sur cette image je lâche mon clavier.

    Je n’en est pas marre d’écrire mais comme toute les choses que j’aime : je savoure !

     

    Bonne journée !


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  • Les petits textes sont, sûrement a votre grande surprise, des petits textes que j'écrit pour m'amuser, m'interroger ou m'exercer. Ils seront très hétéroclites et il est possible qu'ils ne vous plaisent pas tous, cependant si vous avez un peu de temps à perde je vous invite à les lires.


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