•  

    Bonjour est bienvenue dans la FAQ (foire aux questions) de mon blog. Ici je répondrais aux questions les plus courantes, si vous en avez d'autres n'hésitez pas à me les poser.

     

    Quel est le but de ce blog ?

    Ce blog n'a pas vraiment de but particulier, je me suis dit qu'il serait plus facile de progresser en écriture avec des remarques constructives. En bref, ce blog est un exercice pour moi, si jamais mes textes ou mes projets intéresse c'est du bonus !

     

    Qui est Neresis31 ?

    Je suis un jeune homme né à Paimpol le 21/04/1990, j'ai une histoire standard de jeune homme standard, en somme je suis un monsieur tout le monde qui aime bien écrire.

     

    Pourquoi Neresis ?

    Neresis est un vieux pseudonyme, cela fait presque 10 ans que je le traîne avec moi. Initialement cela vient d'un petit garçon (moi-même) qui aime beaucoup lire, il c'est intéressé à la mythologie grecque et a transformé le nom de la déesse de vengeance Némésis en Neresis, depuis c'est resté.

     

    Comment puis-je te contacter ?

    J'ai créé une adresse pour l'occasion :

    neresis31@gmail.com

    De plus si vous avez un compte Kazeo vous pouvez m'envoyer un message avec la messagerie Kazeo.

     

    Si j'ai un texte, puis-je le poster sur ton blog ?

    Je serais ravis de lire le dit texte afin de le publier en votre nom sur mon blog, ce faire il faudrait que vous possédiez un compte Kazeo ou que vous m'evoyez un mail a l'adresse inscrite sous la question du dessus.

     

    Et les fautes ?

    Vous l'aurez sans doute remarqué, mes textes sont parsemé de fautes d'orthographe et de grammaire. Cela vient du fait qu'étant enfant, malgré le fait que je lisais et lit beaucoup, j'était dyslexique, ma difficulté ma ralentit et je me dois de rattraper mon retard. N'étant plus dans le système scolaire me corriger est assez difficile.


    2 commentaires
  • Cette nouvelle est, comparée aux autres, très ancienne. Je me suis inspirée d'une BD adaptée en film appeler Sin City. Ce récit est donc très sombre, je mettrais la première version (non terminer) puis la version retravailler en suivant, n'hésitez pas à me donner vos impressions, toutes critique constructive est bienvenue !


    votre commentaire
  • Ce soir j'avais un dilemme en tête.

    Quelque chose sur la perfection il me semble.

    Tout un raisonnement est venu à moi et je jubilais à l'idée que le fil de mes pensées pouvait être intéressant.

    Alors, malgré le fait qu'il soit trois heures et demie, je sors d'un bond de mon lit et déclare avec motivation :

     

    « Il faut que je l'écrive !!»

     

    Je pose mes fesses devant mon écran,

    Mes doigts embrassent les touches de mon clavier,

    Je prends une grande inspiration et ...

     

    Et rien ...

     

    Je me navre devant mon incompétence puis je me souviens :

     

    « Cela fait maintenant un mois que je n'ai rien écrit ... »

     

    Mais alors mes pensées devraient courir vers la sortie, celle-ci étant la relation, habituellement passionné, entre les lettres imprimer de mon clavier et mes doigts, une danse de l'amour qui grave des lettres, des mots, des phrases, des sentiments. Bref ! Un texte !

     

    Mais rien !!

     

    RIEN !!

     

    Ô toi frustration, ma maladie chronique, toi qui n'a de cesse de tiraillé mon coeur et mon âme.

    Frustration maudite tu me fais souffrir une fois de plus et une fois de trop tu emprisonnes mon esprit !

    Pourquoi viens-tu me chercher encore une fois, toi frustration que je tutoie depuis maintenant trop long temps ?!

    Infâme malédiction des hommes tu reviens me hanter !

    Frustration, pourquoi ma douce, viens-tu à moi avec passion alors que tu pourrais aller en voir bien d'autres ?

    Si tu veux mon amour, toi frustration, part très loin et ne reviens jamais.

    Alors, ma douce tu rencontreras ta jumelle, ton reflet du miroir, ton égal

    A ce moment précis tu comprendras ce sentiment qui t’est inconnue :

     

    La frustration !

     

    Je me console en me disant que de mon délire névrosé du soir est né un nouveau petit texte.


    votre commentaire
  •  

    Le garçon avançait doucement dans la forêt, avec un geste délicat il écarta les fougères qui l’empêchaient de voir la scène. En cette belle nuit, la lune était pleine et sa douce lumière bleutée traversait la cime des arbres, formant des centaines de rayons scintillants. Le vent quant à lui, faisait danser les feuilles qui se mettaient à chanter dans une langue pure comprise uniquement par la nature elle-même. Les yeux émeraude du garçon n’étaient pas attirés par ce spectacle, aussi magique soit-il, le jeune homme était comme hypnotisé par cette femme qui dansait sous le plus beau rayon de lune. Elle portait une robe en rosier, les branches de ceci s’entremêlaient pour former un tissu aussi léger que la soie, serti d’une vingtaine de roses rouges. Toutes les fleurs de sa robe étaient en bourgeons, les pétales serrés les uns contre les autres, se joignant pour remercier les cieux de leur offrir une nuit comme celle-ci. Une seule fleur était ouverte, tout prêt de son cœur, caressant de ces pétales la peau de l’inconnue. Le garçon, qui commençait à peine sa vingtième année, était émerveillé par cette vision enchanteresse et ni pensées ni songes ne vinrent déranger ce moment. Le regard du jouvenceau explorait les moindres courbes du corps de la danseuse, il partit de l’unique fleur vermillon ouverte pour observer les courbures de sa nuque, découvrant avec les mouvements gracieux de la belle inconnue, ses fines épaules. Les lèvres de la jeune femme étaient fines, sa peau claire était bleutée par la subtile couleur de la nuit, ses cheveux lisses, châtain clair et irisé de rouge, lui arrivaient au milieu du dos. Ses yeux, le jeune homme ne pouvait les voir de l’endroit où il était. Cependant il savait que s’il n’allait pas rencontrer cette femme, lui parler ou au moins voir ses yeux, le garçon le regretterait toute sa vie.

     

    La botte du jouvenceau, sortit alors délicatement des hautes herbes qui lui servaient d’abri. Caché dans l’ombre le jeune homme avançait, timide mais décidé. A chaque pas qui le rapprochait de la jeune femme son cœur se serrait de peur qu’elle ne le voie et s’arrête de danser. Le pommeau de la dague qu’il portait à la ceinture reflétait le peu de lumière qui parvenait au garçon qui était venu chasser. L’inconnue continuait de danser, insouciante, elle rigolait comme si l’on venait de lui annoncer la plus belle des nouvelles. Le chasseur de regard approchait furtivement. Arrivé à quelques coudées de l’inconnue, le jeune homme se cacha derrière un arbre qui avait un large tronc : Un Saule Azur, un arbre au tronc blanc et aux feuilles bleues. Un petit rayon de lune éclairait le garçon, dévoilant à qui pouvait le voir son visage. Les traits du jeune chasseur étaient fins, comme si l’enfantine innocence n’avait jamais quitté son visage, pourtant une longue cicatrice parcourait sa joue. Ses cheveux noir mi-long cachaient en partie, ses yeux verts. A son regard, une personne attentive pourrait croire que c’était la première fois que le jouvenceau voyait une femme.

     

    Puis advint le silence, plus de pas dansants, plus de rire. La poitrine du jeune chasseur se serra, ce qu’il craignait venait de se produire, la belle avait arrêté de danser. La veste de cuir du jouvenceau se soulevait au rythme de sa respiration, il finit par sortir de sa cachette. Le rayon de lune semblait bien moins beau en l’absence de la jeune demoiselle. Les épaules du chasseur tombèrent par dépit, quelque chose de chaud et d’humide lui caressa alors la joue. Ses doigts allèrent à la rencontre de cet objet avant de revenir le présenter devant le nez du chasseur. Une larme. Voilà bien longtemps qu’il n’en avait vu.

     

    « Etiez-vous spectateur ? » demanda soudainement une voix à la fois douce et riante.

     

    Le jeune homme se tourna et découvrit les yeux de la belle. Ses yeux si convoités, plus purs et précieux que les plus beaux saphirs des royaumes du nord, avaient une couleur unique un dégradé de bleus splendide, divin ; parfait, ses yeux étaient parfaits. Le jeune chasseur ne pensait pas trouver tel trésor dans cette forêt oubliée de tous. Il balbutia quelques sons ce qui firent rire la demoiselle aux cheveux irisés.

    « Ne savez-vous donc point qu’il est fort impoli d’espionner les jeunes demoiselle dansant au clair de lune ? » questionna la danseuse avec le plus beau de ses sourire avant de continuer : « Vous êtes chanceux, je suis de bonne humeur ! Je vous pardonne. Venez donc danser avec moi. » finit la jeune femme en prenant les mains du chasseur. A l’instant où leurs doigts se frôlèrent toutes les fleurs en bourgeons s’épanouirent, comme si le printemps était venu au galop. Jamais le jeune chasseur n’avait tenu main si douce.

     

    Pris au dépourvu le jouvenceau était comme hébété devant tant de joie et de beauté, puis vint un sourire au coin de ses lèvres découvrant lentement ses dents, son cœur se gonfla de joie petit-à-petit, jusqu’au moment où il se mit à danser avec autant d’entrain que la belle inconnue. Il dansèrent, dansèrent et dansèrent encore.

     

    « Que fête-t-on ? » demanda le jeune homme alors que la demoiselle passait sous son bras avec la grâce des anges.

     

    « La fin et le début ! » répondit la belle en riant.

     

    Les jambes du chasseur s’arrêtèrent puis il répéta : « La fin et le début ? »

     

    « Oui ! » confirma-t-elle à nouveau. « Dansez ! Dansez donc ! Le renouveau, la vie et la nouvelle ère ! » reprit la danseuse.

     

    « Le sens de vos phrases m'est inconnue » dit le jouvenceau, déçu de ne pouvoir comprendre.

     

    « Un jour vous comprendrez et plus que quiconque vous saurez. » finit l’inconnue.

     

    Elle arrêta de danser à son tour et fit une révérence à son cavalier, ce dernier lui rendit mais une fois la révérence achevée la belle avait disparu.

     

    Dix ans passèrent, sans que jamais le jouvenceau n'eût revu la belle.

    ***


    2 commentaires
  • En tant que fan de film de Zombie je me devais de commencer une nouvelle sur ce thème. Carnet d'un survivant est une nouvelle dans un contexte apocalyptique zombie, ou un homme lambda va devoir réapprendre à vivre entouré de mort. Dans cette nouvelle je vais essayer de mettre en avant les choix et les sacrifices que l'on doit faire en situation extrême ainsi que les relations entre les survivant.

    Pour essayer d'immerger le lecteur j'ai choisi d'écrire l'histoire à la première personne.


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires